- Organisation/Entreprise
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CNRS
- Département
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Institut de Biologie Intégrative de la Cellule
- Domaine de recherche
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ChimieSciences BiologiquesSciences pharmacologiques
- Profil de chercheur
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Chercheur de première étape (R1)
- Pays
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France
- Date limite d’inscription
- Type de contrat
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Temporaire
- Statut du travail
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À temps plein
- Heures par semaine
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35
- Date de début de l’offre
- Le poste est-il financé par le programme-cadre de recherche de l’UE ?
-
Non financé par un programme de l’UE
- L’emploi est-il lié au poste du personnel au sein d’une infrastructure de recherche ?
-
Non
Description de l’offre
La thèse se déroulera à l’Institut de Biologie Intégrative de la Cellule (I2BC), unité mixte de recherche associant le CNRS, l’Université Paris-Saclay et le CEA. L’I2BC offre un accès exclusif à des installations technologiques de pointe, hébergeant 16 plateaux techniques. Le sujet de thèse est directement lié à la thématique centrale de l’équipe de recherche « Enzymologie et synthèse peptidique non ribosomale ». Il s’agit d’un projet en étroite collaboration avec une autre équipe de recherche de l’Institut (structuralistes de l’équipe Fonction et architecture des assemblages macromoléculaires) et d’autres collaborateurs au niveau national (Université de Strasbourg et Université Paris-cité) ou international (Université KE Leuven). Le doctorant bénéficiera d’un environnement dynamique et de toutes les ressources techniques nécessaires à la réalisation de ses travaux de recherche (spectromètre de masse couplé à la chromatographie haute pression, chaînes HPLC et FPLC, synthétiseur de peptides, laboratoires de microbiologie, biochimie et chimie).
L’objectif de ce projet est de synthétiser une nouvelle famille d’antibactériens actifs sur des souches résistantes de Staphylococcus aureus. Le premier objectif est de comprendre comment cet agent pathogène détourne efficacement les aminoacyl-ARNt de la machinerie traductionnelle de synthèse ou de modification de la paroi bactérienne, et plus spécifiquement quel rôle les modifications post-transcriptionnelles peuvent jouer dans ce processus. Les informations mécanistiques obtenues lors de ces études seront utilisées pour concevoir et synthétiser des inhibiteurs spécifiques d’aminoacyl transférases afin d’obtenir, après vectorisation, des composés dotés d’activités antibactériennes. Ces molécules seront utilisées seules ou en combinaison avec des antibiotiques existants, afin de contourner les phénomènes de résistance de S. aureus, qui posent des problèmes de santé publique toujours plus importants dans le monde.
Exigences
- Domaine de recherche
- Chimie
- niveau d’éducation
- Master ou équivalent
- Domaine de recherche
- Sciences Biologiques
- niveau d’éducation
- Master ou équivalent
- Domaine de recherche
- Sciences pharmacologiques
- niveau d’éducation
- Master ou équivalent
- Langues
- FRANÇAIS
- Niveau
- Basique
- Domaine de recherche
- Chimie
- Années d’expérience en recherche
- Aucun
- Domaine de recherche
- Sciences Biologiques
- Années d’expérience en recherche
- Aucun
- Domaine de recherche
- Sciences pharmacologiques
- Années d’expérience en recherche
- Aucun
Informations Complémentaires
Étudiants ayant une formation en biochimie, microbiologie, chimie biologique ou biologie structurale, avec un fort intérêt pour la manipulation de macromolécules complexes (ARN, protéines, peptides) et les mécanismes de résistance aux antibiotiques. La curiosité et la volonté d’apprendre de nouvelles techniques sont importantes, compte tenu de la nature multidisciplinaire du projet.
- Site Web pour plus de détails sur le travail